Là-bas, j’ai appris à vivre aux côtés de la nature sans le confort classique : pas de télévision, pas de baignoire, pas de bonbons, mais beaucoup d’animaux et des insectes parfois dangereux : la dengue véhiculée par les moustiques m’a sauté dessus quand nous sommes arrivés au pays, j’avais à peine 2 ans et demi, mais au final c’est moi qui ai gagné…
Rêver, jouer, créer avec trois fois rien, écrire des histoires laisse à l’esprit la part belle pour concevoir de nouveaux univers sans massacres et sans injustices de partage des richesses naturelles locales.